Placardisée, elle décide en 2004 d’attaquer Nissan aux prud’hommes. Mais elle apprend que son dossier ne sera examiné qu’en février 2007.

Révoltée, elle ouvre un blog début 2006 pour y raconter toute son histoire. Nissan contre-attaque. Aux dernières nouvelles, Stéphanie est condamnée à verser 1 euro à la société, 500 au DRH et 100 aux six salariés qui se disent diffamés.

La presse française et même étrangère s'empare de l'histoire.
Son blog est toujours ouvert. C’est ici : Maman chez Nissan, parité bafouée. Elle espère qu'il "servira à toutes les mamans qui sont ou seront susceptibles un jour d'être dans mon cas".

Courage Stéphanie !